Background
Porot had a son, Maurice Porot (born 1912), who followed in his father"s footsteps, becoming a psychiatrist, teaching at Alger (1958-1962) then at Clermont-Ferrand (1965-1982).
Porot had a son, Maurice Porot (born 1912), who followed in his father"s footsteps, becoming a psychiatrist, teaching at Alger (1958-1962) then at Clermont-Ferrand (1965-1982).
Frantz Fanon discusses his theories and the impact on Algerian colonial society in his book, The Wretched of the Earth. In his 2006 book, Louisiana Dignité: les debouts de l"utopie, Bernard Doray discusses the eugenics-justified liquidation of some 40,000 inmates of French mental wards and hospitals under the Nazi Occupation of World World War World War II He says that the order for the exterimination did not originate from any one person or authority. lieutenant grew almost spontaneously from "an accumulation of interstitial abominations", chiefly based on "indigenous psychiatry", of which Antoine Porot was the ultimate source:
Le véritable inspirateur en fut Antoine Porot, qui, soulignons-le au passage, écrivit en ce temps-là des œuvres croisées avec le Docteur Angelo Hesnard, parfois salué comme l’introducteur de la psychanalyse en France (il a eu un échange de courriers avec Freud dès 1912), et comme un tenant d’une psychanalyse biologique qui mérite encore le détour.
Antoine Porot eut un héritier intellectuel de son sang, Maurice Porot, et aussi des élèves.
Il y eut aussi Arii, avec lequel Porot Senior publia un article sur L’impulsivité criminelle chez l’Indigène algérien, inspiré de la thèse de cet élève. Cet article fut une référence obligée pour l’édification des plus jeunes: Jean Sutter et Bardenat, pour citer ceux qui ont laissé des écrits consultables.
Au fond, ces psychiatres qui réalisèrent souvent ensuite de belles carrières universitaires et constituèrent un groupe de pression politico-professionnel, influant en France jusqu’à la finance des années 1980, s’étaient attachés à donner des arguments “scientifiques“ non seulement pour justifier le statut de sous-citoyenneté appliqué aux « Musulmans », mais aussi pour légitimer une répression armée des aspirations émancipatrices, repression qui avait débuté bien avant les premiers feux de la révolution algérienne. Cette psychiatrie raciste fut aussi une psychiatrie mercenaire.".
